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50 Cent parle du G Unit, Tony Yayo et Lloyd Banks

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50 Cent parle du G Unit, Tony Yayo et Lloyd Banks

50 Cent s’est récemment exprimé sur la carrière de Tony Yayo et Lloyd Banks, ses protégés au sein du G-Unit. Fifty indique ainsi que ses deux rappeurs sont toujours « au garde à vous », même si aucun projet en solo concret n’a été proposé durant ces trois dernières années.


Le rappeur explique : « Quand vous dites… comment avez-vous pu disparaître aux yeux du public ? Parce que vous n’avez plus de musique qui ne soit commercialisée ou promue. Voyez, ils n’ont pas perdu leur base que nous avons créée auparavant, le G-Unit, quand nous partons en tournée, vous nous voyez systématiquement tous les trois. Il s’agit tout simplement d’une relance, de rétablir ces albums qui ne souffrent d’aucune faille. Nous devons tout aussi bien travailler dur sur ces projets que sur ceux de 50 Cent. »

Curtis révèlera également que ses deux compères ne devraient plus être signés sur Interscope Records pour bientôt : « Et non, ils ne sont pas sur Interscope. Et c’est une bénédiction que ça ne soit plus le cas, parce que l’entreprise a changé. Beaucoup de sociétés fonctionnent différemment, elles se sont débarrassées de 60% de leurs équipes. Donc, vous ne savez précisément plus ce qui se passe. Mais nous réfléchirons ensemble à leurs projets et trouverons un moyen de les sortir. »

Auparavant, Banks s’était pour sa part étalé sur les problèmes qu’il a rencontrés lors du processus de production de ses deux premiers albums solo : « J’étais prêt à bouger à l’époque. Mais je suis une toute nouvelle machine à présent. En tout cas, c’est à leur perte. J’ai senti qu’il était temps pour moi d’aller là où ce n’était pas subjectif », poursuit-il, « (là) où j’obtiens quelque chose de juste. J’ai plein de projets à présent, mais je ne veux pas en parler avant que tout ce soit concrétisé. Chaque chose s’est produite pour une raison. Je pense que je suis bien béni grâce à mon éthique professionnelle, à la facilité avec laquelle la musique me vient. C’est si bon d’être un artiste indépendant avec une marque. J’ai des contrats directs avec iTunes et des trucs du genre, là où l’argent m’arrive directement. C’est 50% de moi qui n’est pas obligé d’être rattaché à une major. »

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